Toujours dans le thème maritime, voici un autre poème.
Le Phare d’Eierland
Seul sur la dunette, ce soir,
un halo tremble - tristesse d’un regard.
Le vent du large, sifflant dans le noir,
gonfle la toile - le cœur s’égare.
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Le fanal d’Eierland
respire dans sa brume
et ourle la dune
où veille une ombre engourdie.
Le vent des Wadden,
plein d’amertume,
emporte le soupir
d’un mot jamais dit.
Jean-Christophe Berthon
Ich werde bald eine deutsche Übersetzung vorschlagen. 🪻